Chouette, pas chouette
Série animée pour les 3-6 ans, dès le 11 janvier 2021
La série met en scène une galerie d’animaux anthropomorphes, dans un univers graphique coloré, avec des scénarios conçus pour confronter les très jeunes enfants aux stéréotypes sexistes et remettre en cause les préjugés en suscitant l’empathie.
16 épisodes d’1 minute 30, destinés aux enfants de 3 à 6 ans, sont visibles à partir du lundi 11 janvier 2021 sur France Télévisions (Okoo), Disney Channel, Gulli (M6), Piwi+ (Canal+), Nickelodeon, le groupe TF1 et Bayard jeunesse (Bayam).
Ce programme, réalisé par 2 minutes et Gaumont, conçu avec l’association Chiennes de Garde et le Clemi (Centre pour l’Éducation aux Médias et à l’Information), est complété par un livret pédagogique autour de l’égalité filles/garçons et la déconstruction des stéréotypes sexistes, qui s’adresse aux enseignants de la maternelle à la 6ème, aux éducateurs et aux professionnels de l’éducation.
https://www.france.tv/france-4/chouette-pas-chouette/
« Les univers graphiques, l’identité des personnages et les scénarios ont été créés autour du thème du respect mutuel. Ils visent aussi à lutter contre le sexisme ordinaire dès le plus jeune âge et notamment à déconstruire les clichés en tous genres »
« Les personnages de la série sont 10 animaux anthropomorphes (5 filles et 5 garçons) : Jaja Panthère, Gégé Castor, Toto Goéland, Kiki Mouton, Nono Croco, Lulu Hibou, Baba Ourse, Fafa Lapin, Lili Cochonne et Wawa Chihuahua. Des enfants qui parlent, jouent, et vivent comme les autres ! »
« ‘Une fille, ça ne peut pas jouer au foot ou devenir pilote d’avion !’ ‘Un garçon, ça ne peut pas pleurer ou faire de la danse classique !’ Le principe narratif de ces films est de confronter les très jeunes enfants à ces stéréotypes sexistes pour susciter leur empathie, les pousser à remettre en cause leurs préjugés et comprendre que naître fille ou garçon, grand ou petit, croco ou panthère ne détermine pas ce que sera sa vie »
« Adapté aux jeunes enfants, les graphismes sont lisibles et colorés. Et au-delà des problématiques de genre, c’est plus largement le respect de l’autre que ce programme met en lumière afin d’initier le dialogue dans les familles et favoriser la tolérance et l’empathie »